«  Comment remédier à notre perception lacunaire ? Chaque lieu n’aurait-il pas une structure secrète invisible à nos yeux ? Nous aurons beau les écarquiller, le prisme de notre réalité ne s’effacera pas pour autant. Reste alors à imaginer. Peut-être cet espace voûté a-t-il son propre ADN, des brins d’un ADN désuet dans lesquels nous souhaiterions nous pelotonner ? C’est du moins la vision que Lili Bel a patiemment tissée avec le fil de ses pensées... »

Marie H.